Quand j’ai débuté mon aventure zéro déchet (ZD), en 2014, il y avait plusieurs idées reçues à ce sujet. Après quelques années, le phénomène ZD a pris de l’ampleur, plus de personnes qui optent définitivement pour ce mode de vie, les commerces se sont adaptés, de nouveaux se sont spécialisés, des petites entreprises écosympathiques ont vu le jour… Et pourtant, les mêmes idées reçues ont la vie dure et persistent encore ! Lorsque je parle du sujet (ce que je fais uniquement lorsqu’on me le demande, ou qu’une autre personne engage la conversation) alors rapidement les mêmes préjugés alimentent le débat. Pourtant, bien avant moi, plusieurs blogues, livres et articles, ont crié leur voix pour les faire tomber.

Donc, une fois de plus, je vais faire la lumière sur les énormes mythes que vous devez faire exploser. Car, ces fausses idées, souvent alimentées par l’incompréhension, l’ignorance et la méconnaissance du sujet, peuvent être un frein à toute action. Je souhaite les faire taire, ou au moins les atténuer pour qu’elles ne soient pas un obstacle. Le but est que vous puissiez avoir toute l’énergie et le bon état d’esprit pour que vous puissiez  débuter l’aventure zéro déchet, avancer et surtout avoir les résultats que vous escomptez.



Alors mythe réalité ?

Idée reçue n. 1 : C’est compliqué

Oui … et non … Demander à un bébé de marcher et oui cela sera compliqué. Pourtant, lorsqu’il est prêt, qu’il a tout ce qui faut pour mettre en route le processus de la marche, alors il va faire un pas. Certes, il sera hésitant, maladroit et peu assuré. Pourtant, une fois qu’il aura compris ou expérimenté les avantages de marcher, alors, il ne lui faudra pas beaucoup de temps pour se mettre à courir. Reviendrait-il en arrière par la suite ? Je doute.

Le zéro déchet est compliqué si vous n’en voyez pas l’intérêt, les avantages sur votre santé, votre empreinte écologie, la préservation des ressources…

Une personne prête, qui a eu la réflexion sur ce qu’elle pourra en tirer, et qui a en main tous les outils avancera, c’est certain. Avec de la patience, un peu d’aide, elle progressera dans sa démarche et réussira. C’est vrai quelque soit le projet.

Permettez-moi de vous dire que se lancer dans le zéro déchet, ce n’est pas compliqué. Résoudre une intégrale tripe, c’est compliqué. À observer toutes les personnes qui se sont lancées et qui ont réduit de façon significatives leurs déchets, je n’ai aucun doute. Sachez une chose, ces héros du zéro déchet sont des personnes normales, comme vous et moi.

Comme l’enfant qui apprend à marcher, c’est normal qu’il y ait des confusions, des hésitations, des échecs aussi. Mais lorsque vous aurez commencer à marcher et a avancer, vous allez rapidement vous mettre à courir. Et vous vous demanderez pourquoi vous n’avez pas débuté plus tôt.

Etre un bon leader, c’est compliqué!

Et si c’était notre perception qui rend le tout compliqué ? Aujourd’hui, c’est mon ancien mode de vie qui me paraît lui compliqué : un produit pour laver la vaisselle, un pour le sol, un pour les vitres, un pour nettoyer la salle de bain, un pour les toilettes, un pour astiquer le comptoir, un pour nettoyer les oreilles du chat …

J’ai le tournis.

Aujourd’hui, avec aussi peu que un à cinq ingrédients de base je peux presque tout faire, du ménage à ma routine beauté !

Idée reçue n.2 : Ça demande beaucoup trop de temps

Classique ! Je me suis fait dire : « c’est pour ceux qui ont du temps à perdre… »

Le pire ennemie est le temps. Quand on n’en a pas on le cherche, quand on en a on le perd.

L’autre Véro

Je pourrai faire une longue dissertation sur le sujet. Mais dans les faits, lorsqu’on veut vraiment faire quelque chose, nous trouvons toujours le temps ! Tout est une question de priorité.

J’ai moi aussi un emploi à temps plein (et je fais beaucoup -trop- d’heures supplémentaires). J’ai des millions de projets personnels qui me demandent plusieurs heures par semaine…

Néanmoins,  je ne trouve pas que le zéro déchet me demande du temps. La raison est simple, je l’ai intégré graduellement à mon quotidien. Au début, c’est certain qu’il faut une période d’adaptation : le temps de mettre en place ses routines et ses nouvelles habitudes, de faire des essais et des erreurs. Mais, aujourd’hui, je peux dire que je gagne énormément de temps.

Je prépare trois produits de nettoyage (en quantité raisonnable) qui me durent des mois. Je ne perds pas de temps à les acheter, et je les trouve facilement dans mes placards. Puisqu’il n’y en a pas d’autres, je ne perds pas mon temps à chercher parmi les bouteilles et flacons. Dans mon arsenal, j’ai un nettoyant tout usage (sol, comptoirs, plancher, vitres, miroir, douche, murs, carrelage…), un pour les toilettes et un pour le lave-vaisselle.

Et le vrac, quand il est bien rangé, en plus d’être très beau permet de tout voir d’un coup. Un œil dans l’armoire et je sais ce que j’ai pour mes menus. De plus, un pot vide et tout de suite je sais ce qu’il faut mettre sur la liste d’épicerie.

Note : aucun besoin d’investir dans toute une collection de pots, commencez avec ce que vous avez et constituez-la au fur et à mesure. Mais ce n’est pas obligatoire han !

J’ai développé une routine pour les courses, entre marchés, magasins en vrac, boutiques bio… En visitant mon quartier et ses alentours, je me suis montée un circuit. J’ai mes adresses sur le trajet que je fais tous les jours en revenant du bureau, ou la fin de semaine, sur le chemin du marché …Ainsi, tous mes achats se font à proximité, c’est un véritable gain de temps.

C’est vrai, certains me diront « mais c’est facile, tu n’as pas d’enfants… »
Tapez donc #zerodechet dans Instagram et vous trouverez un grand nombre de mères de famille qui ont fait le pari du zéro déchet !

Dernier argument (violent, celui-là). Vous dites ne pas avoir le temps : jetez votre télé  %$#&?*!
Je ne me sens pas le besoin de faire plus de commentaires…

Idée reçue n. 3 : Je vais devoir tout faire moi-même

En lien étroit avec « c’est trop compliqué, j’ai pas le temps », je présente le : « c’est pas vrai que je vais tout faire moi-même ! »

Les grands actes sont constitués de petites actions

Lao Tsu

Il faut accepter que rien n’est parfait. Béatrice, la mère de famille (presque) zéro déchet nous le répète « Ce n’est pas parce qu’on ne peut pas tout faire, qu’il faut rien faire ! »

Permets-moi de te regarder droit dans les yeux et te dire :

Non ! Tu n’es pas obligé de fabriquer tous tes produits, tous tes cosmétiques, ni à passer des heures derrière ton fourneau !

En ce qui concerne les produits d’entretiens et de beauté, d’autres s’en sont chargés pour toi. Les points de chute de produits de nettoyage en vrac sont de plus en plus courants. Les produits utilisés sont sains, tu ne paies pas pour l’emballage et tu réduits la quantité de plastique nécessaire à la mise en bouteille, il y a moins de pollution en transport et entreposage… En somme, que des avantages. Le seul bémol est que lorsqu’ils sont bios ils sont tout de même plus chers que la version ordinaire (pleine de constituants obscurs). Mais à comparer à la même chose en bio, dans un contenant individuel, là il y a une réelle économie.

Aujourd’hui, il y a une foule de petites compagnies qui ont fait le pari de nous offrir des cosmétiques naturels, sains et avec des emballages réduits (voire aucun).

Lorsque tu débutes ta démarche zéro déchet, surtout n’essaie pas de tout faire en même temps. Vas-y par étape, un geste après l’autre. Si tu te demandes comment faire pour débuter toi aussi, n’hésite pas à me contacter. C’est avec grand plaisir que je vais t’accompagner.

Idée reçue n. 4 : Produire zéro déchet c’est impossible

Bon soyons clairs, que ce soit dans la nature, en mathématiques, en physique, ou dans la vie secrète des lémuriens, le zéro absolu n’existe pas ! Alors évidement, au sens rhétorique brut, vivre dans un monde sans créer le moindre déchet est bien entendu impossible.

Plus qu’un objectif ultime, le zéro déchet est un mode de vie. Il s’agit d’avantage d’une  façon de repenser ses actions.

Juste respirer créé des déchets, le dioxyde de carbone. Puis, le CO2 va être transformé par les plantes pour redonner de l’oxygène. Comme on le sait, « Rien ne se perd, rien ne se créé, tout se transforme ».

Contrairement au cycle naturel de la vie, qui se base sur un équilibre, notre société a bouleversé la machine avec des objets (essentiellement des plastiques), créés à peu de frais, à une vitesse vertigineuse, utilisés quelques minutes pour ensuite mettre 300 ans pour retourner à leur état initial. Ce cycle de vie n’est pas cohérent. Nous consommons plus que ce que la terre est en mesure de produire. Nous, êtres humains, sommes les seuls animaux à ne pas assez se soucier de ce principe de base : n’utiliser que ce dont nous avons besoin…

Il n’est pas trop tard, il est toujours temps de faire ne serait-ce qu’un geste. Le zéro déchet est une manière de reprendre action individuellement pour un bénéfice collectif. Je le vis en suivant mes valeurs, et j’essaie de cheminer avec conscience, d’interroger l’acte d’achat et d’apporter une réflexion à mes actions. Sans être parfaite, je me laisse guidée par cet idéal.

Idée reçue n. 5 : Ça coûte trop cher

J’en ai fait mention un peu plus haut. En disant qu’au lieu d’acheter 100 produits d’entretien, de cosmétiques, j’ai des produits de base qui me permettent de tout faire (ou presque). Composés d’ingrédients simples et à un prix vraiment mini de chez mini. Au final,  j’économise de l’argent. Je gagne du temps, et le temps, c’est de l’argent !

Une huile végétale remplace presque tous les cosmétiques. Du vinaigre, du bicarbonate de soude et un bon savon (Marseille, Alep, noir, de Castille) et voilà toute la maison qui respire le propre.

Non, le zéro déchet n’est pas une excentricité des riches en mal d’action ou de buts.

Je ne suis pas riche comme Picsou (Saviez-vous que son prénom est Balthazar ? On en apprend tous les jours). Par contre, je ne dépense quasiment rien. Un des effet secondaire du zéro déchet est d’avoir fait entrer le minimalisme et la simplicité dans ma vie. Parmi tout ce que j’ai donné, vendu, ou jeté, il n’y a rien qui me manque vraiment (tiens, je ferai une liste un jour). Le peu que j’achète, j’y ai réfléchi, j’en ai vraiment besoin ou je l’aime vraiment. Puis,  je l’utilise (pour vrai, pas en prévision de). Je troque, je répare, je transforme, je fais moi-même ; j’ai beaucoup d’options avant d’avoir à sortir mon porte-feuille.

Quelques dollars uniquement, ont été nécessaires sur les photos ci-dessus…

Il est vrai qu’au début, il faut dépenser un peu pour s’équiper. Mais ce n’est pas obligatoire. Franchement, c’est purement esthétique. C’est tout à fait possible de commencer avec les contenants disponibles à la maison. Ensuite libre à toi d’investir dans du tissus pour faire des sacs (oulalala quelle dépense inconsidérée !), des contenants pour du vrac, des serviettes et linges lavables (ou utiliser des vieux t-shirt)… Ces achats sont tous un investissement, ils sont rapidement amortis et remboursés, surtout en comparaison à leur version jetable.

J’admets aussi avoir acheté des objets inutiles parce que je pensais en avoir besoin, ou d’avoir dépensé pour créer toute sorte de cosmétiques alors qu’au final seuls un petit nombre me suffisent.

Je pense que cela fera l’objet d’un autre article…

Autre point, beaucoup d’étudiantes se lancent dans l’aventure. Et nous savons tous qu’un étudiant ça mange des pâtes. Pas juste parce que c’est bon, hein ! On sait tous que c’est pour économiser…

Toutefois, j’ai une mise en garde à faire. Si tu veux débuter à diminuer tes déchets uniquement pour dépenser moins d’argent ou en gagner, c’est une mauvaise raison. Si, dans ta démarche, c’est ton seul moteur, alors tu n’y arriveras pas. Tu vas te décourager, car les économies viennent avec le temps. Vois les économies sur le long terne comme un bonus pas un but.

Idée reçue n. 6 : Je ne veux pas que les gens me jugent

Dans la même catégorie, je place : « mon entourage ne va pas me comprendre ». « je vais passer pour une folle », « je ne veux pas qu’on me regarde de travers, qu’on pense que je suis bizarre », « je ne veux pas être critiquée »…

Si tu as trop peur que ton entourage, la voisine, la vendeuse te jugent, alors reste chez toi et ne fais plus rien !

Quoi que tu fasses, tu ne peux pas plaire à tout le monde. Il y aura des personnes qui comprendront et t’encourageront, d’autres qui critiqueront tes actions et d’autres sans opinion.  Donc, sache une chose, l’originalité et une vie alignée avec ses valeurs n’a rien de loufoque.

Les personnes qui t’aiment, vont te dire que, pour ton bien, tu ne devrais rien changer. Ils ne comprendront pas ce qui te pousse changer et à sortir de la masse. Ils ne veulent pas que tu modifies tes façons de faire de peur de devoir eux aussi changer. C’est en dehors de leur zone de confort. Et soyons honnête,  le changement fait peur.
Ceux qui ne t’aiment pas, ne veulent pas que tu réussisses, ils voudront que tu te plantes et que tu regrettes. Qu’on  t’aime ou non, ton action fera juste pointer l’inaction de ceux qui critiquent ou qui te dissuadent d’agir.

Il faut être dans sa mesure et pas celle des autres. Nous partons tous d’un point différant. Dis-toi que ceux qui te donneront toutes les excuses pour ne pas te lancer ne sont tout simplement pas arrivés à ton niveau, ils ne sont pas prêts. Il ne faut pas leur en vouloir. Car, toi et moi étions ainsi il y  n’y a pas peut être pas si longtemps de cela.

Personnellement, je ne rabâche pas, ni ne prêche pas pour mon mode de vie, excepté sur ce blogue et avec les personnes ouverts pour en discuter.

Nous sommes tous libres de vivre selon nos valeurs avec bienveillance et respect.

10 bonnes raisons de se moquer du regard des autres

Chez moi j’ai mes règles. Chez les autres, c’est chez eux. Qui suis-je pour les juger ? Je n’ai pas besoin de me compliquer la vie en critiquant les actions (ou l’inaction) des autres. J’opte pour une contagion silencieuse. Agir, faire mes expériences et surtout faire la preuve par l’exemple. Je mesure mes réussites (parfois rapides, parfois très lentes) et à force de me voir les autres vont s’y faire. Avec un peu de chance, ça leur donnera l’envie d’embarquer.

Je vous souhaite la même chose.

Idée reçue n. 7 : Tu vas tuer l’emploi

Ça c’est la meilleure ! Là je m’énerve… Ce commentaire est malheureusement alimenté par un manque flagrant de réflexion, ou encore, issu d’une forme d’incompréhension.

Non, mais franchement, est-ce que je vais me mettre à manger du fast-food, sinon les étudiants ne seront plus en mesure de payer leurs études ? Est-ce que je vais me mettre à fumer, sous peine de voir disparaître les emplois liés à l’industrie du tabac. Scandale ultime, je me déplace à vélo, mais comment suis-je capable de dormir, alors que le secteur de l’automobile est en plein déclin ! Non, mais tu ne vas pas consommer local ou biologique, tu as pensé au manque à gagner des multinationales ?

Mais encore …

Donc oui, certains emplois vont sûrement aller en décroissant. C’est ainsi dans toute l’histoire de l’humanité, des tâches ont été délaissées pour d’autres, les scribes ont été remplacés par l’imprimerie…

Ainsi, il est sans doute vrai qu’il y aura certainement moins d’imprimeurs. En contrepartie, dans le même temps, cinq jeunes viennent de trouver un poste en de programmeur de logiciels,  concepteur web, spécialiste marketing, technicien en sécurité cybernétique, responsable BigIP…

Les nouveaux modes de vie, comme le slow-life (slow food, slow cosmetic), le locavore, le biologique, le zéro déchet sont des moteurs créateurs d’emploi.

Il suffit de voir tous les nouveaux commerces qui ouvrent un peu partout, les achats directement chez l’agriculteur et les fermiers de famille. Faire un tour sur Etsy et c’est découvrir une multitude de micro entreprises qui permettent à leurs fondatrices de vivre selon son emploi du temps tout en donnant de la valeur aux autres. Quand je pense à tous les accompagnateurs en nutrition en activité physique, je me dis que c’est merveilleux de pouvoir vivre de sa passion …

Car oui, au final, j’en suis convaincue : un mode vie sain, crée de la valeur pour soi, pour les autres, pour le monde, pour la planète. Et la création de valeur personne ne peut être contre.

Quelques autres fausses idées

  • Pourquoi, moi,  je ferai des efforts quand je vois que la grande majorité des gens et les grandes entreprises ne font rien.

Je pense sincèrement que ceux qui essaient ont déjà une longueur d’avance sur ceux qui ne tente pas. Il ne faut jamais douter qu’un groupe d’individus conscients et engagés puisse changer le monde. Historiquement, c’est de cette façon que le changement s’est produit. Cette citation n’est pas de moi, mais de Margaret Mead. Certes, son propos ne concernait pas du tout l’environnement, mais tout de même, à bien des égards sa pensée trouve écho dans ma réflexion.

  • C’est trop extrême comme mode de vie.

Encore une fois, tout le monde ne part pas du même point. Tout le monde n’a pas fait la réflexion que tu peux avoir faite sur le sujet. Juste pour relativiser, il y aura aussi des gens pour dire que ce n’est pas assez extrême…

  • Le monde n’est pas prêt.

Et bien, à attendre que le monde soit prêt, il ne va rien se passer !

  • C’est bon juste pour les autres.

Respecte l’opinion de chacun.

  • Tu vas être isolé de tes amis

En ce qui me concerne, je ne trouve pas. Mes amis, ont une vague idée de ce que je fais. Toutefois, depuis que j’ai démarré, j’ai rencontré et tissé des liens avec une foule de personnes inspirantes et intéressantes.

Le mot de la fin

Malgré toutes ces fausses idées, le zéro déchet suscite aussi beaucoup de commentaires positifs, d’admiration et donne beaucoup de motivation. C’est ce qu’il faut retenir. Il est bien plus bénéfique de nourrir nos actions de pensées positives, n’est-ce pas ?

Au final, quel que soit le petit geste que tu poses, que je pose, que ton voisin pose, qu’ils ou elles posent, que nous posons… et bien voilà autant gestes qui , avec la magie de la démultiplication, permettent de vrais changements.

Il n’y a pas de honte à se faire du bien, à préserver nos ressources et à envisager un demain plus vert.

Je tiens à préciser qu’aucun bébé, chat ou lémurien n’a été blessé durant la rédaction de cet article.

 

 

 

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